Pars courageusement, laisse toutes les villes ;
Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin :
Du haut de nos pensers vois les cités serviles
Comme les rocs fatals de l’esclavage humain.
Les grands bois et les champs sont de vastes asiles,
Libres comme la mer autour des sombres îles.
Marche à travers les champs une fleur à la main.
La Nature t’attend dans un silence austère...
extrait de :La maison du berger d'Alfred de Vigny
Photographe 1 - Papillons 48.
RépondreSupprimerMuhaha!
Pour les vaches y a égalité !