lundi 28 octobre 2013

FIAC 2013

 
Malgré tous les ronchons, la Fiac reste un moyen facile de se gaver d’art pendant quatre jours. Cette année, le rez-de-chaussée est carrément patrimonial (à l’exception, entre autres, de Marian Goodman ou de Chantal Crousel). Avalanche de modernes (1910-1960) au sein de laquelle on révise ses classiques, c’est aussi bien qu’un musée. Dans le domaine contemporain (1960 et après), les têtes d’affiche se bousculent: Robert Longo (dont se vend entre autres un tableau représentant une manif pour l’éducation et contre la finance), Bill Viola, Anish Kapoor, Jean-Michel Basquiat, Ugo Rondinone, Luc Tuymans, Lee Ufan, Jean-Marc Bustamante, Ryan Trecartin, Laurent Grasso, etc. On les repère facilement, ils crèvent le décor. Evidemment, ce n’est peut-être pas –foule oblige– le meilleur endroit pour en profiter.
Au premier étage se sont logées les galeries les plus défricheuses, où l’on voit les œuvres les plus intrigantes. C’est normal, plus on est vieux, plus on est riche, plus on préfère investir dans la valeur sûre, moins on n’a de force pour grimper les escaliers
extrait de "LIBERATION"

              Fiac 2013: le guide de survie                            Eric LORET


LA FIAC ,C'EST SUPER HYPER GENIAL!
(Même quand on n'achète pas.)
 

















 









 
 

 
 
 

 

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